Sur les traces de Charles de Foucauld. GORREE Georges Editeur ARTHAUD,

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Sur les traces de Charles de Foucauld

Auteur GORREE Georges

Envoi autograpge signé par l'auteur 

Editeur : Arthaud

Année d'édition :1947

Nombreuses illustrations en noir et blanc,photos,documents,cartes

Bon état 

A propos de Charles de Foucauld

Charles Eugène de Foucauld de Pontbriand, né le 15 septembre 1858 à Strasbourg (France) et mort le 1er décembre 1916 dans le Sahara algérien. Militaire sans conviction (1876 à 1882) Après deux ans d'études à l'École Militaire, Charles est officier. Son grand-père vient de mourir et Charles reçoit tout l'héritage. Il a 20 ans. Pendant plusieurs années, Charles va chercher son plaisir dans la nourriture et dans les fêtes. On l'appelle alors le « Gros Foucauld » « Je dors longtemps. Je mange beaucoup. Je pense peu. » En 1883, sur les terres du sultan, l'Européen peut circuler au grand jour et sans danger ; dans le reste du Maroc, il ne peut pénétrer que travesti et au péril de sa vie : il y est regardé comme un espion et serait massacré s'il était reconnu. Presque tout mon voyage se fit en pays indépendant. Je me déguisai dès Tanger, afin d'éviter ailleurs des reconnaissances embarrassantes. Je me donnai pour Israélite. Durant mon voyage, mon costume fut celui des Juifs marocains, ma religion la leur, mon nom le rabbin Joseph. Je priais et je chantais à la synagogue, les parents me suppliaient de bénir leurs enfants… » « A qui s'informait de mon lieu de naissance je répondais tantôt Jérusalem, tantôt Moscou, tantôt Alger. » « Demandait-on le motif de mon voyage ? Pour le musulman, j'étais un rabbin mendiant qui quêtait de ville en ville; pour le Juif, un Israélite pieux venu au Maroc malgré les fatigues et dangers, pour s'enquérir de la condition de ses frères. » « Tout mon itinéraire a été relevé à la boussole et au baromètre. » « En marche, j'avais sans cesse un cahier de cinq centimètres carrés caché dans le creux de la main gauche ; d'un crayon long de deux centimètres qui ne quittait pas l'autre main, je consignais ce que la route présentait de remarquable, ce qu'on voyait à droite et à gauche ; je notais les changements de direction, accompagnés de visées à la boussole, les accidents de terrain, avec la hauteur barométrique, l'heure et la minute de chaque observation, les arrêts, les degrés de vitesse de la marche, etc. J'écrivais ainsi presque tout le temps de la route, tout le temps dans les régions accidentées. » « Jamais personne ne s'en aperçut, même dans les caravanes les plus nombreuses ; je prenais la précaution de marcher en avant ou en arrière de mes compagnons, afin que, l'ampleur de mes vêtements aidant, ils ne distinguassent point le léger mouvement de mes mains. La description et le levé de l'itinéraire emplissaient ainsi un certain nombre de petits cahiers. » « Dès que j'arrivais en un village où il me fût possible d'avoir une chambre à part, je les complétais et je les recopiais sur des calepins qui formaient mon journal de voyage.

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